Robert Kiyosaki, l’auteur de Rich Dad Poor Dad, sonne l’alarme. La dette américaine, à 35 000 milliards de dollars, et les ventes massives d’actions font craindre un krach en 2025.
D’ailleurs, il mise sur l’or et le Bitcoin pour se protéger. Effectivement, ce tableau sombre intrigue : un effondrement est-il imminent ? Quels sont les signaux à surveiller ?
La dette US : une bombe à retardement
Kiyosaki n’a jamais eu la langue dans sa poche. En juillet 2025, il met en garde contre la dette américaine, qui culmine à 35 000 milliards de dollars.
Par ailleurs, cette dette représente 120 % du PIB, un niveau jamais vu depuis 1945. Effectivement, les intérêts annuels, à 1 200 milliards de dollars, engloutissent 30 % du budget fédéral.
D’ailleurs, cette spirale inquiète les marchés. Les agences de notation, comme Moody’s, ont dégradé la note US à Aa2 en 2024, signalant un risque systémique. Kiyosaki argue que cette dette, couplée à une inflation à 3,1 %, pourrait déclencher une crise pire que 2008. Par ailleurs, il critique les politiques monétaires laxistes, qui gonflent la bulle financière sans résoudre le fond du problème.
Ventes massives d’actions : le signal d’alarme
Les marchés boursiers vacillent, et Kiyosaki y voit vraiment un signe avant-coureur. En juin 2025, les ventes d’actions ont atteint 450 milliards de dollars, un record sur 30 jours.
D’ailleurs, les géants tech, comme Apple et Nvidia, ont perdu 8 % de leur valeur en deux semaines. Effectivement, les investisseurs institutionnels, craignant un resserrement monétaire, liquident leurs positions.
Par ailleurs, les petits investisseurs suivent le mouvement, accentuant la panique. En 2024, 25 % des portefeuilles retail ont vendu leurs actions tech, selon des données récentes.
Kiyosaki compare ce phénomène à la bulle dot-com de 2000, où les ventes massives ont précédé un krach de 40 %. Il insiste : la confiance dans les marchés traditionnels s’effrite, poussant les capitaux vers des actifs alternatifs.
Or et Bitcoin : les refuges de Kiyosaki
Face à ce chaos, Kiyosaki mise sur l’or et le Bitcoin. L’or, à 2 400 $ l’once, reste un bouclier contre l’inflation, avec un rendement annuel moyen de 8 % depuis 2015.
Par ailleurs, le Bitcoin, à 104 000 $, attire les institutions, qui détiennent 6 % de sa supply via des ETF. D’ailleurs, des pays comme le Salvador, avec 3 200 BTC en réserve, inspirent cette stratégie.
Effectivement, Kiyosaki voit ces actifs comme des remparts face à un krach potentiel en 2026. Il conseille d’acheter maintenant, avant une possible envolée de l’or à 3 000 $ et du Bitcoin à 150 000 $. Ce scénario, alimenté par une crise de confiance, pourrait redéfinir les marchés.
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