Le Bitcoin grimpe en douce, frôlant les 104 000 $ en juillet 2025. Pourtant, les particuliers brillent par leur absence, tandis que les institutionnels accumulent sans bruit.
D’ailleurs, ce contraste intrigue : pourquoi les gros joueurs misent-ils autant ? Effectivement, cette hausse silencieuse pourrait redessiner le marché crypto. Quels sont les moteurs de ce phénomène et ses implications ?
Une hausse discrète mais soutenue
Le Bitcoin ne fait plus les gros titres, mais son cours parle pour lui. À 104 000 $ le 25 juillet 2025, il affiche une hausse de 15 % depuis janvier. Par ailleurs, cette montée se fait sans l’euphorie des cycles passés. Les volumes d’échange quotidiens, à 45 milliards de dollars, sont dominés par des transactions institutionnelles.
D’ailleurs, les données montrent un virage clair. En 2024, 62 % des achats de BTC provenaient d’institutions comme BlackRock ou Fidelity. Leurs ETF Bitcoin, lancés en 2023, détiennent désormais 1,2 million de BTC, soit 6 % de la supply totale.
Effectivement, ces acteurs accumulent en silence, profitant des corrections pour acheter. En juillet, ils ont absorbé 28 000 BTC lors d’une baisse de 8 %. Les particuliers, eux, restent sur la touche, avec seulement 18 % des portefeuilles actifs en 2025.
Pourquoi les particuliers boudent-ils ?
Les petits investisseurs, jadis moteur des bull runs, sont aux abonnés absents. La volatilité du Bitcoin, avec une chute de 20 % en mars 2024, a refroidi les ardeurs.
Par ailleurs, les frais de transaction, à 3,5 $ en moyenne, rebutent les micro-investisseurs. D’ailleurs, un projet comme Bitcoin Hyper, qui promet des transactions quasi gratuites via une couche 2, pourrait changer la donne, mais son adoption reste limitée à 120 000 utilisateurs en 2025.
Effectivement, l’inflation mondiale, à 3,1 %, et les incertitudes économiques pèsent aussi. Les particuliers privilégient des actifs traditionnels, comme l’or à 2 400 $ l’once, pour sécuriser leur épargne.
En 2024, seulement 15 % des Salvadoriens, pourtant pionniers du BTC, l’utilisaient quotidiennement. Ce désintérêt contraste fort avec l’appétit des institutions, qui voient le Bitcoin comme une réserve de valeur à long terme.
Un marché crypto en pleine mutation
Cette domination institutionnelle redessine vraiment le paysage crypto. Les gros joueurs stabilisent le marché, réduisant les swings brutaux des cycles passés. En 2025, la volatilité annuelle du Bitcoin est à 35 %, contre 60 % en 2021.
Par ailleurs, leur accumulation pourrait pousser le BTC vers 150 000 $ d’ici 2026, si l’adoption institutionnelle atteint 25 % des portefeuilles, comme prévu.
D’ailleurs, des pays comme le Salvador, avec 3 200 BTC en réserve, ou le Vietnam, qui explore des blockchains nationales, renforcent cette tendance.
Effectivement, le Bitcoin devient un actif stratégique, loin de l’engouement spéculatif des particuliers. Cette hausse silencieuse, portée par les institutions, pourrait marquer l’entrée du BTC dans une phase de maturité. Mais il reste à savoir si les particuliers rejoindront la danse.
À lire aussi :
- La prévente de Bitcoin Hyper touche à sa fin : un nouveau chapitre s’ouvre
- Memecoins à surveiller : top 3 pour un x100
- Bitcoin Hyper explose en prévente alors que le BTC vise les 140 000 $
Cet article ne représente en aucun cas un conseil en investissement. Veuillez faire vos propres recherches et être conscients qu’investir comporte des risques. Aussi, certains liens d’affiliation se trouvent sur cette page et nous génèrent de l’argent.
next