Sanctions renforcées : Londres cible les réseaux crypto russes

Updated 12 heures ago by · 3 mins read

Le marché crypto se met à trembler ! En août 2025, Londres renforce ses sanctions contre les réseaux crypto russes, avec le Bitcoin à 113 400 €.

D’ailleurs, ce coup de force intrigue : pourquoi cibler ces réseaux ? Quels impacts ? Plongeons dans cette offensive qui secoue l’écosystème et pourrait vraiment redessiner la géopolitique des cryptomonnaies face aux tensions globales.

Londres : une offensive contre les réseaux crypto russes

Londres fait des vagues. En effet, le 22 août 2025, le Trésor britannique annonce des sanctions renforcées contre 12 entités crypto russes, accusées d’évasion fiscale et de financement de conflits via des exchanges comme Garantex, par exemple.

De plus, ces mesures, alignées avec l’OFAC américain, gèlent 1,5 milliard de livres d’actifs numériques. Effectivement, l’objectif ici est de couper les flux financiers illicites, qui sont estimés à 2 milliards d’euros en 2024.

D’ailleurs, le Royaume-Uni impose des audits KYC stricts aux plateformes comme Binance, bloquant les wallets liés à la Russie. Cependant, les blockchains décentralisées, comme Ethereum, compliquent l’application, avec 40 % des transactions intraçables.

Par ailleurs, la FCA collabore avec Chainalysis pour traquer les adresses suspectes, identifiant 10 000 wallets actifs. Effectivement, Londres veut asphyxier les réseaux russes tout en préservant son hub crypto au maximum.

Un écosystème crypto sous tension

Ce durcissement secoue l’écosystème. Le Bitcoin stagne à 113 400 €, tandis qu’Ethereum, lui gagne 1,6 % à 4 200 €. Par ailleurs, la capitalisation crypto atteint 4 150 milliards d’euros (+2,3 %).

Effectivement, les stablecoins, comme USDT, représentant 60 % des volumes d’échange, sont scrutés, car 25 % des flux passent par des exchanges russes.

D’ailleurs, Coinbase, conforme à MiCA, a réduit de 20 % ses transactions liées à des wallets non vérifiés en juillet. Mais, le piratage de 30 millions d’euros sur un DEX en juillet 2025 rappelle qu’il y a parfois des failles.

Par ailleurs, l’UE soutient Londres, bannissant Monero et Zcash pour leur anonymat. Effectivement, ces sanctions pourraient détourner les flux crypto vers des juridictions comme Dubaï.

Perspectives : un tournant géopolitique ?

Ce tour de vis pourrait tout changer. En effet, les sanctions pourraient réduire de 15 % les volumes crypto russes, soit 300 milliards d’euros, d’ici 2026.

Par ailleurs, des exchanges comme OKX, opérant à Hong Kong, pourraient capter ces flux, défiant l’influence occidentale. Effectivement, la City de Londres, avec 15 % des emplois crypto en Europe, risque bien de perdre son attractivité si la régulation s’intensifie.

D’ailleurs, Grok conseille une exposition limitée à 5 % du portefeuille et une diversification avec XRP, à 3,65 € (+16 %).

Cependant, un Nasdaq en repli (-1,4 % à 17 600 points) et la résilience des réseaux décentralisés freinent l’impact des sanctions. Ce bras de fer fait de Londres un gendarme crypto, mais il s’agira encore une fois de veiller à rester prudent.


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