UE : vers un Euro numérique propulsé par Ethereum ou Solana

Updated on Août 22, 2025 at 8:58 am UTC by · 3 mins read

Le marché crypto s’enflamme ! En août 2025, l’UE accélère sur un Euro numérique, potentiellement sur Ethereum ou Solana, avec le Bitcoin à 113 000 €.

D’ailleurs, ce projet intrigue : pourquoi ces blockchains ? Quels impacts ? Plongeons dans cette révolution qui pourrait faire de l’Euro un titan numérique et redessiner la finance européenne.

L’UE mise sur un Euro numérique

L’Union européenne fait des vagues. En effet, le 20 août 2025, la Banque centrale européenne (BCE) dévoile un plan pilote pour un Euro numérique, testé sur Ethereum et Solana, visant des transactions instantanées à 0,01 € de frais.

Par ailleurs, ce projet, initié en 2023, garantit un Euro numérique adossé à 100 % à l’euro fiat pour une stabilité absolue. Effectivement, l’objectif est de concurrencer l’USDC, qui pèse 250 milliards de dollars, et de renforcer la souveraineté monétaire européenne.

D’ailleurs, un test à Francfort, impliquant 5 000 utilisateurs, a traité 1 milliard d’euros en juillet via Solana, avec une capacité de 107 540 transactions par seconde (TPS).

Cependant, la confidentialité, gérée par des protocoles zero-knowledge (ZK) sur Ethereum, reste un défi face aux exigences AML strictes de l’UE.

Par ailleurs, la BCE collabore avec ConsenSys pour Ethereum et Fireblocks pour Solana, assurant une infrastructure sécurisée.

Effectivement, ce choix d’Ethereum ou Solana positionne l’UE comme un pionnier dans la finance numérique, rivalisant avec le yuan numérique chinois.

Un écosystème crypto sous tension

Ce projet secoue l’écosystème. Le Bitcoin stagne à 113 000 € (+0,8 %), après une correction de 6 % depuis juillet, tandis qu’Ethereum gagne 2,1 % à 4 050 €, porté par la mise à jour Pectra.

Par ailleurs, Solana, à 195 € (+14 %), explose avec 1,3 million d’adresses actives quotidiennes et 475 millions de dollars via Pump.fun au Q1 2025.

Effectivement, la capitalisation crypto atteint 4 150 milliards d’euros (+2,3 %), dopée par les stablecoins, qui représentent 60 % des volumes d’échange.

D’ailleurs, l’USDC sur Ethereum, avec 80 milliards d’euros de flux quotidiens sur Binance, inspire l’Euro numérique. Cependant, un piratage de 30 millions d’euros sur un DEX en juillet 2025 rappelle les vulnérabilités des blockchains publiques.

Par ailleurs, l’UE, via MiCA, a délivré 15 licences blockchain en 2025, renforçant la confiance des investisseurs. Effectivement, ce projet pourrait intégrer 500 000 commerçants européens d’ici 2026, redéfinissant les paiements.

Perspectives : un game-changer mondial ?

Ce pari pourrait tout changer. En effet, la BCE vise 20 % des paiements transfrontaliers, soit 500 milliards d’euros, via l’Euro numérique d’ici 2030, concurrençant le dollar.

Par ailleurs, Solana pourrait l’emporter grâce à ses coûts de transaction inférieurs à 0,0001 €, mais Ethereum domine par sa robustesse, avec 12 milliards d’euros en smart contracts.

Effectivement, des hubs comme Malte, attirant 10 % des flux crypto européens, soutiennent ce virage.

D’ailleurs, Grok conseille une exposition limitée à 5 % du portefeuille et une diversification avec XRP, à 3,65 € (+16 %). Cependant, un Nasdaq en repli (-1,4 % à 17 600 points) et des régulations strictes, comme l’AMLR, freinent l’élan.

Par ailleurs, des partenariats avec Visa, testant l’Euro numérique pour 100 000 commerçants, renforcent l’adoption. Effectivement, ce projet fait de l’UE un leader numérique, mais la prudence reste de mise face aux incertitudes macroéconomiques.


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