
Pour Résumer
- Kiyosaki prédit un krach à cause de la dette US.
- Les ventes d’actions massives amplifient les risques en 2025.
- L’or et le Bitcoin restent ses refuges privilégiés.
La dette US : une bombe à retardement
Kiyosaki n’a jamais eu la langue dans sa poche. En juillet 2025, il met en garde contre la dette américaine, qui culmine à 35 000 milliards de dollars.
Par ailleurs, cette dette représente 120 % du PIB, un niveau jamais vu depuis 1945. Effectivement, les intérêts annuels, à 1 200 milliards de dollars, engloutissent 30 % du budget fédéral.
D’ailleurs, cette spirale inquiète les marchés. Les agences de notation, comme Moody’s, ont dégradé la note US à Aa2 en 2024, signalant un risque systémique. Kiyosaki argue que cette dette, couplée à une inflation à 3,1 %, pourrait déclencher une crise pire que 2008. Par ailleurs, il critique les politiques monétaires laxistes, qui gonflent la bulle financière sans résoudre le fond du problème.
Ventes massives d’actions : le signal d’alarme
Les marchés boursiers vacillent, et Kiyosaki y voit vraiment un signe avant-coureur. En juin 2025, les ventes d’actions ont atteint 450 milliards de dollars, un record sur 30 jours.
D’ailleurs, les géants tech, comme Apple et Nvidia, ont perdu 8 % de leur valeur en deux semaines. Effectivement, les investisseurs institutionnels, craignant un resserrement monétaire, liquident leurs positions.
Par ailleurs, les petits investisseurs suivent le mouvement, accentuant la panique. En 2024, 25 % des portefeuilles retail ont vendu leurs actions tech, selon des données récentes.
Kiyosaki compare ce phénomène à la bulle dot-com de 2000, où les ventes massives ont précédé un krach de 40 %. Il insiste : la confiance dans les marchés traditionnels s’effrite, poussant les capitaux vers des actifs alternatifs.
Or et Bitcoin : les refuges de Kiyosaki
Face à ce chaos, Kiyosaki mise sur l’or et le Bitcoin. L’or, à 2 400 $ l’once, reste un bouclier contre l’inflation, avec un rendement annuel moyen de 8 % depuis 2015.
Par ailleurs, le Bitcoin, à 104 000 $, attire les institutions, qui détiennent 6 % de sa supply via des ETF. D’ailleurs, des pays comme le Salvador, avec 3 200 BTC en réserve, inspirent cette stratégie.
Effectivement, Kiyosaki voit ces actifs comme des remparts face à un krach potentiel en 2026. Il conseille d’acheter maintenant, avant une possible envolée de l’or à 3 000 $ et du Bitcoin à 150 000 $. Ce scénario, alimenté par une crise de confiance, pourrait redéfinir les marchés.
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