Entre tentatives de rebond et coups de com’, les projets du jour se battent pour garder leur momentum. Solana réagit mollement à la récente correction. Hyperliquid restructure sa tokenomique.
Solana hésite sur la suite
Solana reste dans une dynamique incertaine après une semaine mouvementée en subissant un recul d’environ 5 %. Certains analystes évoquent une valorisation surchauffée par les dernières semaines de hausse, d’autres parient sur un rebond tactique autour de 200 $. L’objectif des 300 $ reste dans le viseur d’ici à la fin de l’année, porté par l’intérêt constant des investisseurs institutionnels et la solidité des fondamentaux du réseau. Le marché attend désormais un déclencheur clair pour valider une nouvelle impulsion haussière.Hyperliquid : restructuration express
Le protocole Hyperliquid fait parler de lui avec une annonce majeure : la société DBA propose de brûler 45 % de l’offre totale de HYPE, soit 442 millions de tokens, et de supprimer le plafond d’émission actuel. Objectif : redéfinir la tokenomique pour redonner de l’élan au projet. Problème : Arthur Hayes, figure emblématique du projet, aurait vendu l’ensemble de ses tokens HYPE. Une sortie remarquée, qui soulève des questions sur l’avenir du projet sans son principal ambassadeur. Malgré cela, HYPE reste cité parmi les cryptos à suivre, mais l’incertitude reste élevée à cause de la liberation prochaine de tokens.Pepe Node : un projet qui attise les convoitises
Pepe Node continue de faire parler de lui. Le projet séduit de plus en plus d’investisseurs grâce à son modèle “mine-to-earn” original, des rendements de staking très élevés parfois au-delà de 1 000 % et une presale qui aurait déjà levé plus de 1,2 million de dollars. Certains observateurs évoquent un potentiel x1000, porté par une communauté active et un positionnement à la croisée du memecoin et de l’innovation technique. Dans le même temps, l’univers “Pepe” continue de bouger. Wall Street Pepe (WEPE) a brûlé 3 milliards de tokens. Une initiative marquante, liée à sa migration vers Solana. Ces signaux confirment que l’écosystème reste bien vivant. Et Pepe Node pourrait bien devenir l’un de ses piliers dans les semaines à venir. Pour ne rien manquer des mouvements en cours sur Solana, Hyperliquid, Pepe Node et la macroéconomie, notre LIVE vous tient informé en temps réel.À lire aussi :
- Il panique sur Hyperliquid après avoir encensé le projet
- PI Network se prépare à un retour fracassant ?
- LIVE – Bitcoin, Ethereum, XRP, Bitcoin Hyper, Pi Network… – Toute l’actualité du 23 septembre 2025
Cet article ne représente en aucun cas un conseil en investissement. Veuillez faire vos propres recherches et être conscients qu’investir comporte des risques. Aussi, certains liens d’affiliation se trouvent sur cette page et nous génèrent de l’argent.
Le groupe de hackers nord-coréen Lazarus refait surface avec une nouvelle attaque ciblée, cette fois contre le bridge de Seedify, une plateforme spécialisée dans le lancement de projets crypto.
En exploitant une faille critique, les pirates ont réussi à créer frauduleusement des tokens SFUND, provoquant un vol estimé à 1,2 million de dollars. L’incident met une nouvelle fois en lumière la fragilité persistante des infrastructures DeFi, en particulier celles liées aux bridges inter-chaînes, devenus des cibles privilégiées pour les cyberattaques sophistiquées.
Le géant russe du e-commerce Wildberries franchit une nouvelle étape en annonçant l’acceptation des paiements en Bitcoin et autres cryptomonnaies en Biélorussie.
Ce changement s’inscrit dans le cadre d’un programme pilote soutenu par le gouvernement, qui vise à favoriser l’innovation dans les technologies financières et les infrastructures blockchain. Pour l’entreprise, c’est un moyen de diversifier les moyens de paiement tout en s’alignant sur les tendances numériques mondiales.
Le Kazakhstan entre à son tour dans la course aux monnaies numériques avec le lancement d’un projet pilote de stablecoin national, baptisé Evo (KZTE), indexé sur sa devise officielle, le tenge.
Cette initiative, portée par la Banque nationale du Kazakhstan, marque une étape stratégique vers la numérisation contrôlée de son système monétaire, dans un cadre institutionnel strict.
Construit sur la blockchain Solana, le stablecoin est émis en collaboration avec la plateforme Intebix, la Eurasian Bank et bénéficie du soutien de Mastercard pour assurer une interopérabilité à l’échelle mondiale.
Cette expérimentation s’inscrit dans une stratégie plus large de souveraineté numérique, visant à créer un écosystème d’actifs digitaux propre au pays, tout en stimulant l’innovation technologique.
Si le Kazakhstan n’est pas le premier à s’engager sur cette voie, il confirme néanmoins que les États voient désormais les stablecoins comme un levier concret de modernisation financière, loin des discours purement théoriques.
Un nouveau rapport révèle que 32 pays étudient activement des stratégies pour s’exposer au Bitcoin, illustrant une montée en puissance silencieuse, mais structurée de l’actif numérique à l’échelle étatique.
Parmi eux, 16 envisagent de constituer des réserves stratégiques, tandis que d’autres explorent des approches variées, comme l’intégration du BTC dans les systèmes fiscaux, les fonds souverains ou encore l’investissement direct via le mining.
Les analystes évoquent une « course théorique des jeux », une dynamique où chaque pays redoute de rester en arrière si d’autres adoptent plus vite cet actif numérique. Une théorie de plus en plus tangible à mesure que les États cherchent à se prémunir contre l’instabilité monétaire mondiale… en misant sur le roi des cryptos.
Brian Armstrong, le PDG de Coinbase, a récemment réaffirmé sa vision à long terme pour le Bitcoin, en déclarant qu’il pourrait atteindre le seuil symbolique d’1 million de dollars d'ici à 2030.
Lors d’un passage sur Fox Business, il a insisté sur le fait que cette projection repose sur les conditions actuelles du marché et les avancées technologiques constantes dans l’écosystème crypto.
Si cette estimation peut sembler audacieuse, elle reflète néanmoins une tendance de fond chez les acteurs majeurs de l’industrie, qui voient dans Bitcoin un actif de plus en plus légitime à long terme, notamment face à l’inflation et à l’instabilité monétaire mondiale.