La dynamique haussière semble bien enclenchée. Bitcoin s’installe dans la zone des $114 000, XRP se stabilise, et les altcoins s’éveillent à leur tour. L’“Uptober” tant attendu pourrait bien être lancé.
Bitcoin redécolle, cap sur Uptober ?
Bitcoin flirte avec les $114 000, atteignant un sommet qui alimente les spéculations. Le terme “Uptober” revient en force, soutenu par une tradition haussière en octobre certains évoquent une moyenne historique de +20 % sur le mois. Après un repli à $109 000 la semaine passée, le marché semble avoir trouvé un nouvel élan. Et en effet, il semble que le rebond actuel s’explique en partie par la liquidation récente des positions à effet de levier, perçue comme un vrai reset technique. L’arrivée de gros acheteurs, notamment des whales, renforce ce mouvement.XRP et altcoins : mouvement global
XRP se maintient dans les alentours de $2,80. Plus de 120 millions de tokens auraient été accumulés par de gros porteurs ces dernières 72 heures, un indicateur d’intérêt croissant et significatif. Mais l’attente autour des ETF XRP prévus en octobre entretient aussi un potentiel de volatilité élevé. Côté altcoins, la reprise s’étend. Certains projets Layer 1 ou PayFi accélèrent, tandis que d’autres, notamment en DeFi ou IA, marquent le pas. Le climat reste spéculatif, mais le courant haussier pourrait bien porter tout le marché… au moins pour l’ouverture d’Uptober. Pour ne rien manquer des mouvements en cours sur Bitcoin, XRP, altcoins et la macroéconomie, notre LIVE vous tient informé en temps réel.À lire aussi :
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Le gouvernement français envisagerait de relever la flat tax sur les revenus du capital, en la faisant passer de 30 % à 36 %, selon les premières discussions budgétaires en cours.
Une hausse qui, si elle se confirme, concernerait également les gains liés aux cryptomonnaies, actuellement soumis à cette imposition forfaitaire.
Cette proposition s’inscrit dans un contexte de recherche de nouvelles recettes fiscales, mais elle pourrait envoyer un signal négatif aux investisseurs particuliers et aux acteurs de l’écosystème crypto, déjà souvent critiques face à l’environnement fiscal français.
Alors que d’autres juridictions misent sur l’attractivité et la clarté pour capter l’innovation financière, la France semble, une fois de plus, faire le pari de la pression fiscale.
Robinhood, le courtier en ligne bien connu pour avoir démocratisé l’investissement boursier auprès du grand public, prépare une incursion stratégique dans l’univers des prediction markets, selon Bloomberg.
Le projet viserait à lancer une plateforme dédiée à ces marchés spéculatifs hors des États-Unis, contournant ainsi les obstacles réglementaires qui freinent leur adoption sur le territoire américain.
En misant sur ce secteur encore émergent, mais à fort potentiel, Robinhood tente d’élargir son offre tout en se positionnant à l’avant-garde des nouvelles formes de finance décentralisée. Une manière pour l’entreprise de diversifier ses revenus, tout en continuant à flirter avec les lignes de front de l’innovation financière.
Visa franchit une nouvelle étape dans l’adoption des actifs numériques en lançant un programme pilote intégrant les stablecoins USDC et EURC, émis par Circle.
L’objectif est clair : faciliter les paiements transfrontaliers en s’appuyant sur Visa Direct, la solution de transfert en quasi temps réel du géant des paiements.
En misant sur la rapidité et la stabilité des stablecoins, Visa cherche à moderniser l’infrastructure des paiements internationaux, tout en s’ouvrant progressivement à l’écosystème crypto.
Une avancée technique qui, sans remettre en cause le système bancaire traditionnel, en souligne les limites face à l’émergence de solutions blockchain plus agiles.
La SEC et la CFTC, deux piliers de la régulation financière américaine, annoncent une nouvelle phase de coopération visant à clarifier le cadre réglementaire applicable aux actifs numériques.
Ce rapprochement stratégique, bien que non fusionnel, marque une volonté d’harmoniser les règles afin d’éliminer les doublons et de renforcer la lisibilité du marché.
Paul Atkins, représentant de la SEC, a souligné la nécessité d’en finir avec la fragmentation réglementaire, accusée d’avoir freiné l’innovation et poussé de nombreux projets crypto à s’exiler hors des États-Unis.
À travers cette initiative, les régulateurs semblent vouloir rattraper leur retard et créer un environnement favorable à l’essor des technologies blockchain et fintech sur le sol américain. Une évolution attendue de longue date par les acteurs du secteur.
L’État du Wisconsin a présenté un projet de loi baptisé « Bitcoin Rights » (AB471), visant à affirmer une position favorable aux activités liées aux cryptomonnaies.
Le texte prévoit d’exempter les particuliers et entreprises de l’obligation de détenir une licence de transmetteur d’argent pour certaines activités, telles que l’auto-custodie, l’exploitation de nœuds, le minage, le staking ou encore le développement de logiciels blockchain.
Cette initiative, si elle est adoptée, pourrait renforcer l’attractivité de l’État pour les acteurs du secteur crypto, en réduisant les barrières réglementaires à l’innovation.
Elle s’inscrit dans une tendance plus large observée aux États-Unis, où plusieurs juridictions locales cherchent à se positionner comme des hubs technologiques pro-Bitcoin.