Stablecoins : BlackRock salue leur adoption croissante comme solution de paiement globale

Les stablecoins secouent la finance mondiale ! En juillet 2025, BlackRock, géant de la gestion d’actifs, salue leur adoption croissante comme moyen de paiement global.

D’ailleurs, leur stabilité et rapidité séduisent vraiment les entreprises et les particuliers. Effectivement, ce plébiscite intrigue beaucoup : pourquoi les stablecoins s’imposent-ils ? Quels sont les moteurs de cette révolution et ses implications pour 2026 ? Plongeons dans ce phénomène.

Emmanuel Roux Par Emmanuel Roux Emmanuel Roux Editor Emmanuel Roux Dernière mise à jour 3 mins read
Stablecoins : BlackRock salue leur adoption croissante comme solution de paiement globale

Pour Résumer

  • BlackRock célèbre l’essor des stablecoins en 2025.
  • Ils s’imposent comme solution de paiement rapide et stable.Leur adoption pourrait transformer la finance d’ici 2026.

Une adoption fulgurante portée par la stabilité

Les stablecoins prennent d’assaut le marché crypto. En juillet 2025, leur capitalisation atteint 220 milliards de dollars, en hausse de 30 % depuis janvier.

Par ailleurs, BlackRock, qui gère 10 000 milliards d’actifs, voit en eux une alternative crédible aux monnaies fiat pour les paiements transfrontaliers. Effectivement, des stablecoins comme USDT et USDC dominent, avec 70 % des transactions crypto en volume.

D’ailleurs, leur peg au dollar assure une stabilité que le Bitcoin, à 117 000 $, ne peut offrir. En 2024, 1,8 trillion de dollars de transactions ont transité via des stablecoins, contre 1,2 trillion en 2023.

Par ailleurs, des entreprises comme Visa et PayPal intègrent USDC pour les paiements, avec 450 millions de dollars de flux mensuels.

Cette adoption massive, qui est aussi couplée à une inflation mondiale à 3,1 %, fait des stablecoins un vrai refuge contre la volatilité des devises traditionnelles.

BlackRock et l’institutionnalisation des stablecoins

BlackRock ne se contente pas de saluer les stablecoins, il agit. En 2025, son ETF USDC, lancé en partenariat avec Circle, attire 2 milliards de dollars d’entrées nettes.

Par ailleurs, Larry Fink, CEO de BlackRock, vante leur potentiel pour réduire les frais de transaction, qui chutent à 0,1 % contre 2 % pour les virements SWIFT. D’ailleurs, des projets comme celui du Kazakhstan, avec sa réserve crypto, montrent l’appétit institutionnel.

Effectivement, les stablecoins séduisent par leur rapidité. Un transfert USDT prend 10 secondes, contre 3 jours pour un virement bancaire international.

Par ailleurs, 18 % des institutions financières asiatiques testent des paiements en stablecoins, selon des rapports récents.

Cependant, des critiques persistent : 15 % des USDT sont dans des hot wallets, un risque en cas de piratage.

BlackRock pousse pour des audits tiers, comme ceux imposés par MiCA en Europe.

Un avenir radieux mais risqué

L’essor des stablecoins pourrait redéfinir la finance mondiale. En 2025, des pays comme Singapour et le Japon expérimentent des stablecoins locaux, inspirés par USDC.

D’ailleurs, la tokenisation d’actifs, avec 400 millions de dollars d’immobilier tokenisé sur Ethereum en 2024, renforce leur utilité.

Effectivement, BlackRock prévoit que les stablecoins représenteront 10 % des paiements mondiaux d’ici 2026, soit 3 trillions de dollars.

Par ailleurs, des défis subsistent. La régulation, comme MiCA, impose des réserves à 100 % pour les émetteurs, un casse-tête pour Tether.

De plus, un piratage de 50 millions de dollars sur un protocole DeFi en 2024 rappelle leur vulnérabilité.

Malgré tout, l’élan des stablecoins, porté par BlackRock, semble imparable. Ce boom pourrait faire d’eux les piliers de la finance de demain.


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