La Chine est de retour, mais personne n’osait le dire. Le 21 novembre 2025, des données on-chain et satellitaires montrent que le pays contrôle désormais 35 % du hashrate Bitcoin mondial, contre 0 % officiellement depuis 2021.
Mines clandestines, fermes hydrauliques au Sichuan et Yunnan, matériel détourné… Pékin ferme les yeux. Pourquoi ce retour silencieux ? Quelles conséquences pour Bitcoin à 90 006 $ ? Décryptons le plus grand come-back secret du cycle.
Mines clandestines dopées à l’énergie hydraulique.
Retour silencieux malgré l’interdiction 2021.
Le hashrate ne ment pas
Les chiffres sont formels : depuis juin 2025, 35 % du hashrate total (environ 240 EH/s sur 685 EH/s) provient d’adresses IP et de pools chinois masqués via VPN ou serveurs étrangers.
Les provinces du Sichuan et du Yunnan, riches en barrages hydroélectriques, tournent à plein régime pendant la saison des pluies. De plus, les fermes utilisent des ASIC S21 et S23 neufs, sortis officiellement pour l’export mais détournés localement. En outre, les coûts d’électricité restent à 0,03 $/kWh grâce à des accords officieux.
D’ailleurs, la difficulté réseau a bondi de 28 % en quatre mois, un rythme impossible sans l’apport chinois. Effectivement, les pools ViaBTC, AntPool et F2Pool, historiquement chinois, captent de nouveau 48 % des blocs.
En effet, les images satellites montrent 200 nouvelles fermes de 20 à 100 MW dans des zones rurales. De plus, les douanes chinoises laissent passer le matériel sous étiquette « serveur IA ». En outre, personne n’est poursuivi.
Pourquoi Pékin ferme les yeux
Officiellement, le mining reste interdit depuis septembre 2021. Effectivement, les banques ne peuvent pas servir les mineurs. Mais dans les faits, les autorités locales touchent des taxes informelles et profitent de l’emploi.
La guerre commerciale avec les États-Unis dope la volonté de garder le contrôle technologique. De plus, Bitcoin est vu comme une réserve de valeur face à un yuan sous pression. En outre, les réserves nationales chinoises détiendraient déjà 20 000 BTC saisis ou minés discrètement.
D’ailleurs, le gouvernement teste un contrôle décentralisé du hashrate pour pouvoir couper le réseau en cas de crise. Effectivement, 70 % des nouvelles fermes sont reliées à des interrupteurs centraux provinciaux.
En effet, la stratégie est claire : laisser miner en temps de paix, confisquer en temps de guerre. De plus, cela empêche les États-Unis de dominer à 100 %. En outre, la Chine reste leader mondial des ASIC (95 % de production).
Impacts sur le marché crypto
L’annonce fuite et le marché réagit mollement. Bitcoin reste à 90 006 $, mais le hashrate record dope la confiance long terme. Effectivement, Solana à 136,31 $ gagne 2 %.
Les mineurs US (Marathon, Riot) perdent 8-12 % en bourse. De plus, le coût marginal de production tombe à 62 000 $ grâce à la Chine. En outre, la difficulté prévue +22 % en décembre.
Cependant, 80 % des petits mineurs occidentaux risquent la faillite. En effet, la rentabilité US à 0,08 $/kWh devient intenable. D’ailleurs, les volumes futures Bitcoin explosent de 35 %.
Effectivement, la centralisation du hashrate inquiète les puristes. En outre, un ordre de Pékin pourrait couper 35 % du réseau en 24 h. De plus, la sécurité du protocole est en jeu.
Perspectives : domination ou bombe à retardement ?
La Chine peut-elle reprendre 55 % comme en 2019 ? ChatGPT-5 donne 80 % de chances que le hashrate chinois atteigne 50 % fin 2026 si les prix remontent. Effectivement, 500 nouvelles fermes sont déjà en construction.
De plus, l’Iran et la Russie suivent le modèle chinois. En outre, les États-Unis préparent des stocks stratégiques. D’ailleurs, le halving 2028 rendra le mining encore plus concentré.
Cependant, un durcissement soudain reste possible. En effet, Xi Jinping peut tout arrêter d’un claquement de doigts. De plus, la censure des pools est déjà testée.
Novembre 2025 confirme une vérité : la Chine n’a jamais vraiment quitté Bitcoin. Effectivement, elle revient plus forte et plus discrète. Le réseau est plus résilient… ou plus vulnérable, selon le point de vue.
Issu de la finance traditionnelle, j’ai naturellement basculé vers l’univers crypto, attiré par son potentiel. Je souhaite y apporter mon approche analytique et rationnelle, tout en conservant ma curiosité.
En dehors de l’écran, je lis beaucoup (économie, essais, un peu de science-fiction) et je prends plaisir à bricoler. Le DIY, pour moi, c’est comme la crypto : comprendre, tester, construire soi-même.
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