
Pour Résumer
- Indonésie et Italie explorent des réserves Bitcoin.
- Diversification et inflation motivent ces stratégies nationales.
- Ce virage pourrait inspirer d’autres pays d’ici 2026.
Un vent nouveau sur les réserves nationales
L’Indonésie et l’Italie s’intéressent au Bitcoin. En août 2025, le bureau du vice-président indonésien rencontre des défenseurs du BTC pour discuter de son intégration dans les réserves nationales, actuellement composées d’or, de dollars et d’obligations.
Par ailleurs, une proposition suggère d’allouer 300 trillions IDR (18,3 milliards de dollars) pour acquérir jusqu’à 200 000 BTC, visant à réduire la dette nationale.
Effectivement, l’Italie, inspirée par les États-Unis et leur réserve de 198 109 BTC, explore un modèle similaire via des discussions au ministère des Finances.
D’ailleurs, le contexte est favorable. Le marché crypto, à 2 800 milliards de dollars, reste volatil, avec une correction du Bitcoin de 8 % à 112 000 $ en août.
Par ailleurs, l’inflation mondiale à 3,1 % et les tensions géopolitiques, comme les taxes sino-américaines de 25 %, poussent les nations à diversifier leurs actifs.
Les ETF Bitcoin, avec 8 milliards de dollars d’entrées nettes en 2025, et des pays comme le Salvador, avec 6 258 BTC, montrent la voie. L’Indonésie envisage aussi le minage pour ses réserves en utilisant son énergie renouvelable excédentaire.
Des motivations économiques et stratégiques
Ces initiatives, reposent donc sur des fondamentaux solides. En Indonésie, le Bitcoin est vu comme un rempart contre l’inflation et une alternative au dollar, malgré un ratio dette/PIB bas à 39 %.
Par ailleurs, l’agence Daya Anagata Nusantara, lancée en février 2025, pourrait vraiment gérer ces investissements pour renforcer la résilience économique.
D’ailleurs, l’Italie, avec une dette publique à 140 % du PIB, cherche à diversifier ses réserves pour contrer la dévaluation de l’euro. Effectivement, 18 % des institutions asiatiques testent des portefeuilles crypto, un signal fort.
Par ailleurs, des défis subsistent. Un piratage de 50 millions de dollars en juillet 2025 et des régulations strictes, comme MiCA en Europe, imposent des audits coûteux.
En Indonésie, l’OJK, le régulateur financier, insiste sur une gouvernance rigoureuse. Mais cependant, l’Italie s’inspire beaucoup du cadre américain, où un décret présidentiel a officialisé la réserve Bitcoin, pour structurer son approche.
Un modèle pour 2026 ?
Ce virage pourrait faire école. Grok, l’IA de xAI, conseille aux investisseurs de surveiller ces initiatives pour ajuster leurs portefeuilles.
D’ailleurs, l’Indonésie et l’Italie pourraient attirer 35 % d’investissements crypto étrangers d’ici 2026, comme les États-Unis en 2024. Effectivement, ce modèle, inspiré par le Salvador et le Bhoutan (11 711 BTC), pourrait séduire d’autres nations.
Par ailleurs, la volatilité du Bitcoin et les résistances réglementaires restent des obstacles. Mais si ces pays concrétisent leurs plans, ils pourraient vraiment redéfinir les réserves nationales d’ici 2026, propulsant le Bitcoin au cœur de la finance mondiale.
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