France : le nucléaire mis à profit pour miner du Bitcoin

La France met le turbo sur le Bitcoin ! En août 2025, le pays exploite son énergie nucléaire pour alimenter des fermes de minage, secouant le monde crypto.

D’ailleurs, ce virage audacieux intrigue dans un marché à 2 800 milliards de dollars. Effectivement, cette stratégie soulève des questions : pourquoi le nucléaire ? Quels impacts ? Plongeons dans ce pari qui pourrait redessiner l’écosystème crypto.

Emmanuel Roux Par Emmanuel Roux Emmanuel Roux Editor Emmanuel Roux Dernière mise à jour 3 mins read
France : le nucléaire mis à profit pour miner du Bitcoin

Pour Résumer

  • La France mine du Bitcoin avec l’énergie nucléaire.
  • Une stratégie verte dope l’industrie crypto locale.
  • Ce modèle pourrait inspirer l’Europe d’ici 2026.

Le nucléaire au service du Bitcoin

Centrale nucléaire de Civaux — Wikipédia

La France passe à l’offensive. En août 2025, des fermes de minage, installées près des centrales nucléaires d’EDF, exploitent l’énergie abondante et décarbonée pour miner du Bitcoin.

Par ailleurs, avec 56 réacteurs produisant 61 GW, la France tire 70 % de son électricité du nucléaire, offrant un avantage compétitif face aux 45 % du hashrate Bitcoin basé aux États-Unis.

Effectivement, le marché crypto, à 2 800 milliards de dollars, reste volatil, avec une correction du Bitcoin de 8 % à 112 000 $ en août.

D’ailleurs, ce projet est stratégique. En 2024, EDF a signé des partenariats avec des entreprises crypto comme Bitfury, utilisant l’excédent énergétique pour alimenter des data centers.

Par ailleurs, le minage consomme 15 GW globalement, et la France capte 5 % de ce hashrate, générant 200 millions d’euros de revenus en 2024.

Ce virage, soutenu par le ministère de l’Économie, vise à diversifier l’économie face à l’inflation mondiale à 3,1 % et aux tensions géopolitiques, comme les taxes sino-américaines de 25 %.

Un modèle vert et compétitif

Le nucléaire offre un atout unique. Avec un coût de production à 60 €/MWh, contre 100 €/MWh pour le gaz, le minage français est compétitif.

Par ailleurs, l’énergie décarbonée réduit l’empreinte carbone du Bitcoin, critiquée pour ses 37 Mt de CO2 annuels.

D’ailleurs, des initiatives comme celle du Salvador, avec 6 258 BTC minés via l’énergie géothermique, inspirent ce modèle.

Effectivement, 18 % des institutions européennes testent des portefeuilles crypto, renforçant beaucoup l’attrait du minage vert.

Par ailleurs, des défis émergent. Un piratage de 50 millions de dollars en juillet 2025 et des régulations strictes, comme MiCA, imposent des audits coûteux.

Mais, la France contre-attaque : des incitations fiscales, comme par exemple un crédit d’impôt de 20 % pour les mineurs, attirent des acteurs.

Les ETF Bitcoin, avec 8 milliards de dollars d’entrées nettes en 2025, montrent un appétit institutionnel que la France pourrait vraiment capter.

Un hub crypto européen en 2026 ?

Bitcoin et BBVA

Ce pari pourrait faire école. La France vise 10 % du hashrate mondial d’ici 2026, rivalisant avec le Texas.

D’ailleurs, Grok, l’IA de xAI, conseille aux investisseurs de surveiller les annonces d’EDF pour ajuster leurs portefeuilles.

Effectivement, ce modèle pourrait inspirer l’Allemagne ou la Suède, riches en énergie renouvelable.

Par ailleurs, la volatilité du Bitcoin et les résistances des écologistes, inquiets des déchets nucléaires, restent des obstacles.

Mais avec 450 millions de dollars de transactions crypto via des exchanges locaux en 2024, la France pourrait devenir un hub crypto européen d’ici 2026, redéfinissant le minage mondial.


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