
Pour Résumer
- Les salaires en cryptos triplent en 2025.
- L’USDC mène, Bitcoin grimpe à 119 800 €.
- Une adoption massive transforme les RH.
Une vague de salaires en cryptomonnaies
Les entreprises bouleversent vraiment les codes. En effet, en 2024, la part des salaires payés en cryptos a explosé, passant de 3 % à 9,6 % dans les industries tech et blockchain.
D’un autre côté, l’USDC, avec 63 % des paiements crypto, s’impose comme le stablecoin star, grâce à sa stabilité et ses audits transparents. Les plateformes comme Deel ou Rippling dopent cette adoption fulgurante.
D’ailleurs, les transactions en USDC ont bondi de 337 %, avec 1,2 milliard d’euros de salaires versés en 2025.
Effectivement, les startups Web3 privilégient les cryptos pour payer leurs équipes internationales, réduisant pas mal les frais bancaires à 0,02 € par transaction, contre 2 % pour les virements classiques.
Ce système attire aussi beaucoup les freelances, qui représentent 41 % des travailleurs crypto, cherchant des paiements rapides et sans intermédiaires.
Cependant, tout n’est pas rose. Les régulations, comme le Code du travail français, limitent encore les salaires en monnaie fiduciaire.
Par ailleurs, un hack de 25 millions d’euros en mai 2025 a ravivé les craintes sur la sécurité des portefeuilles.
Effectivement, les entreprises doivent renforcer leurs protocoles pour protéger ces flux numériques.
Le marché crypto surfe sur la vague
Ce boom secoue l’écosystème. Le Bitcoin, à 119 800 €, gagne 2,9 % en 24 heures, tandis qu’Ethereum progresse de 1,9 %, à 3 990 €.
Par ailleurs, la capitalisation totale du marché crypto atteint 4 150 milliards d’euros, en hausse de 2,4 %. Ces chiffres montrent que les cryptos s’intègrent dans les RH, loin de leur image spéculative.
D’ailleurs, l’adoption des stablecoins booste la confiance. Avec 88 % des salaires crypto soumis à des vesting sur quatre ans, les entreprises fidélisent leurs talents.
Effectivement, l’USDC, adossé à des réserves vérifiées, surpasse l’USDT, qui ne capte que 28,6 % des paiements. Mais, la volatilité des cryptos non stables, comme le Bitcoin, freine certains employeurs, surtout en Europe.
Par ailleurs, les régulations posent problème. MiCA, en vigueur dans l’UE, exige des audits stricts pour les paiements crypto, compliquant alors la tâche des PME.
D’ailleurs, la fiscalité, avec des cryptos taxées comme actifs, alourdit les charges. Effectivement, ce virage demande une exécution irréprochable pour éviter les dérapages.
Perspectives : une révolution RH en marche ?
Cette tendance redessine le travail. En effet, les stablecoins permettent à un développeur à Lagos d’être payé comme à Londres, réduisant donc les inégalités.
Par ailleurs, 36 % des DRH envisagent des salaires crypto pour attirer des profils tech. Effectivement, avec 9,6 % des employés blockchain payés en cryptos, 2025 marque un tournant.
D’ailleurs, des défis subsistent. Les taxes, à 30 % sur les plus-values crypto en France, compliquent la paie. De plus, la volatilité du Bitcoin, malgré un RSI à 59, reste un piège.
Grok conseille une exposition limitée à 5 % du portefeuille et une diversification avec des actifs comme XRP ou Solana. Ce boom des salaires crypto pourrait transformer les RH, mais la prudence reste de mise.
À lire aussi :
- XRP surpasse Ethereum en revenus sur Coinbase malgré une chute des ventes
- LIVE – XRP, Bitcoin Hyper, Bonk, PiNetwork, régulation… – Toute l’actualité du 07 août 2025
- L’IA Gemini prédit le prix de XRP, Pi Network et Bitcoin Hyper fin 2025
