L’entreprise canadienne Matador Technologies Inc. prévoit d’amasser un total de 6 000 Bitcoins jusqu’à 2027.
C’est une initiative qui pourrait servir d’exemple à d’autres sociétés en matière d’investissement sur le BTC.
Le prix du Bitcoin est demeuré relativement stable, tandis que les investisseurs restaient attentifs aux éventuels impacts du GENIUS Act.
La cryptomonnaie se négociait aux alentours de 118 825 $, soit un niveau légèrement inférieur à son record historique de 123 000 $.
Strategy, anciennement MicroStrategy, fait encore parler d’elle. Avec 601 550 BTC en poche, soit 3 % de l’offre totale de Bitcoin, l’entreprise de Michael Saylor redéfinit la gestion de trésorerie.
D’ailleurs, ce choix audacieux soulève une question : est-ce une stratégie visionnaire ou un pari risqué ?
Le Bitcoin connaît un léger recul après avoir atteint lundi un nouveau record historique à 123 000 $.
Si la tendance générale reste haussière, le sentiment à court terme a changé, la pression à la vente commençant à s’intensifier.
Un mouvement colossal agite la cryptosphère. Une baleine Bitcoin, inactive depuis 2011, a transféré 18 643 BTC, soit 2,18 milliards de dollars, vers Galaxy Digital dans la nuit du 14 juillet 2025.
Ce portefeuille, lié à l’ère Satoshi, ravive les spéculations. Que prépare cette baleine endormie ?
Lorsque BlackRock s’intéresse aux cryptomonnaies, c’est tout l’écosystème qui retient son souffle. En quelques mois, le plus grand gestionnaire d’actifs au monde s’est imposé comme un acteur clé de l’institutionnalisation de la crypto.
Le Bitcoin a augmenté de plus de 3 % avant d’atteindre un niveau record de plus de 123 000 $ pour ensuite se stabiliser.
Sur l’année, cette cryptomonnaie affiche une hausse de plus de 27 %.
Satoshi Nakamoto se retrouve au top car il est maintenant parmi les plus grandes richesses mondiales.
Actuellement, il se retrouve en 12e position dans le classement des individus les plus fortunés dans le monde.
Le Salvador fait encore parler de lui : son trésor Bitcoin dépasse les 750 millions de dollars, avec 6 237 BTC en poche. Sous l’impulsion de Nayib Bukele, le pays continue d’accumuler malgré les pressions du FMI.
D’ailleurs, ce pari audacieux porte ses fruits. Pourquoi ce succès ? Analysons la stratégie du Salvador, ses gains et les perspectives pour le Bitcoin en 2025.
Récemment, le Bitcoin (BTC) a atteint un sommet historique dans le monde de la crypto en dépassant les 121 000 $.
Toutefois, l’intérêt du public pour cette monnaie numérique n’est pas très marqué comparé aux précédents marchés haussiers.
Le Bitcoin franchit un nouveau cap à 117 500 $ en juillet 2025, et l’euphorie s’empare de l’écosystème crypto. Cette hausse, qui est dopée par les ETF et une adoption institutionnelle massive, ravive l’intérêt pour les tokens spéculatifs.
En effet, un memecoin comme Bitcoin Hyper ($HYPER) pourrait surfer sur ce momentum. Pourquoi cette ascension du Bitcoin promet-elle un marché en ébullition ?
BTC Bull, un memecoin jusque-là discret, vient de créer la surprise en triplant sa valeur en quelques jours. Porté par une mécanique innovante et une communauté déjà très engagée, il attire désormais l’attention du marché. Ce succès éclair, conjugué à l’émergence de projets comme Bitcoin Hyper, soulève une question brûlante : assiste-t-on à une nouvelle Memecoin Season ?
Ce vendredi matin, le prix du Bitcoin établit un nouveau record et se négocie dans une fourchette étroite autour de 116 500 $.
Cette période de consolidation fait suite à une forte hausse, donc le marché se prépare pour son prochain mouvement majeur.
Depuis 2020, l’entreprise Strategy s’est imposée comme la première Bitcoin Treasury Company au monde, empilant les BTC avec une rigueur presque religieuse. Alors que l’accumulation continue semblait inarrêtable, un changement de rythme inattendu cette semaine relance les spéculations sur la direction prise par Michael Saylor et sa stratégie d’entreprise à long terme.
Le Bitcoin a établi un nouveau sommet historique contre le dollar américain, c’est un record bien apprécié !
Son ascension apparente pourrait bien être due en partie à un rachat forcé à découvert.